Avec cet homme un peu paumé, qui plonge dans ses racines à la recherche de lui-même, Hélène Gestern nous offre un de ces romans sensibles et délicats dont elle a le secret. Au cœur de ce récit mené comme une enquête, l'île de Cézembre, lieu mystérieux, presque mystique, battu par les vents et les embruns. Tout au long de cette quête faite de rebondissements, de découvertes, de rencontres, mais aussi de solitude, on respire l'air marin et on vit au rythme des saisons bretonnes, teintées…

Victoire, 13 ans, vit dans un monde où l’eau qui sort du robinet est très rare et précieuse, interdiction de la gâcher. Forcée à fuir le village où elle a grandi, la jeune fille va tenter de trouver la dernière source d’eau libre de la Terre : le lac Baïkal. Une grande aventure sur fond d’écologie sans jamais être moralisatrice ; un roman d’apprentissage ; une déconstruction du monde tel que nous le connaissons. Dès 12 ans.