- EAN13
- 9782021465709
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 21/10/2022
- Collection
- Documents (H. C.)
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Un médecin co-fondateur des soins palliatifs en France; une philosophe, belge,
dont la mère a été euthanasiée à domicile ; un psychanalyste spécialisé dans
le soutien aux mourants; un généraliste français qui aide dans l’illégalité
certains de ses patients à mourir; une infirmière-cadre dans un EHPAD dont les
résidents ont pris de plein fouet la première vague de la pandémie au
printemps 2020; une femme médecin, suisse, qui a pour métier le suicide
assisté ; et des hommes, des femmes, qui ont tout simplement accompagné le
départ d’un de leurs proches, grand-parent, parent ou conjoint. Soit quatorze
récits écrits à la première personne, au plus près du ressenti, qui racontent
la mort avec les mots de ceux qui sont restés pour la dire. Pour lever un peu
le voile sur cette confrontation ultime qui nous effraie tant. Pour
contribuer, aussi, au débat sur la fin de vie, avec l’espoir que cette parole
libérée contribue, à sa mesure, à ce qu’on meure moins mal en France. Ancienne
journaliste au Monde, Catherine Vincent travaille désormais en indépendante.
Elle se consacre notamment aux sujets relatifs à l’éthique clinique médicale,
au vieillissement et au grand âge. Elle fait partie des membres fondateurs du
CNaV (Conseil national autoproclamé de la vieillesse). Préface de Didier
Sicard
*[5e]: Cinquième
dont la mère a été euthanasiée à domicile ; un psychanalyste spécialisé dans
le soutien aux mourants; un généraliste français qui aide dans l’illégalité
certains de ses patients à mourir; une infirmière-cadre dans un EHPAD dont les
résidents ont pris de plein fouet la première vague de la pandémie au
printemps 2020; une femme médecin, suisse, qui a pour métier le suicide
assisté ; et des hommes, des femmes, qui ont tout simplement accompagné le
départ d’un de leurs proches, grand-parent, parent ou conjoint. Soit quatorze
récits écrits à la première personne, au plus près du ressenti, qui racontent
la mort avec les mots de ceux qui sont restés pour la dire. Pour lever un peu
le voile sur cette confrontation ultime qui nous effraie tant. Pour
contribuer, aussi, au débat sur la fin de vie, avec l’espoir que cette parole
libérée contribue, à sa mesure, à ce qu’on meure moins mal en France. Ancienne
journaliste au Monde, Catherine Vincent travaille désormais en indépendante.
Elle se consacre notamment aux sujets relatifs à l’éthique clinique médicale,
au vieillissement et au grand âge. Elle fait partie des membres fondateurs du
CNaV (Conseil national autoproclamé de la vieillesse). Préface de Didier
Sicard
*[5e]: Cinquième
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