EAN13
9782051022583
ISBN
978-2-05-102258-3
Éditeur
Éditions Slatkine
Date de publication
Collection
NBI2 2
Nombre de pages
234
Dimensions
22 x 15 cm
Poids
520 g
Langue
français
Code dewey
130
Fiches UNIMARC
S'identifier

Cours pratique d'alchimie; Notes sur Paracelse

De

Préface de

Éditions Slatkine

Nbi2 2

Indisponible

Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,

Cliquez ici pour le commander
René Schwaeblé n’ignore rien des dernières spéculations de l’alchimie à l’heure où son maître Alphonse Jobert (1852-1921) fait parler de lui dans la presse parisienne de 1905, à propos d’une soi-disant transmutation qu’il aurait réalisée. Ce dernier est l’inspirateur de ce véritable bréviaire qu’est Le Cours d’Alchimie Pratique (1904). Ici, René Schwaeblé met à la disposition du grand public des connaissances qui, d’ordinaire, demeurent dans l’alcôve de la « Science des Sages ». Il fait la jonction entre la chimie et l’alchimie et, par conséquent, s’adresse aux deux approches qu’il désire jumeler, l’empirique et la scientifique. Il conclura par la seule donnée digne d’intérêt : l’Humain. La dédicace à Huysmans vient ici combler le manque de lyrisme d’un texte qui forme une véritable somme de connaissances pratiques pour qui voudrait tenter, au moyen d’une recette précise, l’aventure alchimique du Grand Œuvre. Avec La Divine Magie (1918), réédité ici pour la première fois par nos soins, René Schwaeblé offre de multiples chemins de traverses. À cet égard, le titre de cet ouvrage intervertit les termes des sciences occultes : Divine magie et non magie divine ! Cette inversion ne fait pas illusion : la grâce de la Providence souhaitée par l’auteur pour combattre les éléments les plus dissonants des sciences maudites, n’aura été qu’un rêve. Mais l’alchimie pourrait-elle l’accomplir ? C’est dans ce cadre précis, celui d’une sorte de « résiliance » qu’interviennent les deux personnages évoqués par l’auteur : celui de Paracelse et celui de Nicolas Flamel, comme deux figures tutélaires et initiatiques dont les deux textes, ajoutés en contrepoint, nous entretiennent aussi.
S'identifier pour envoyer des commentaires.